GG

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La mauvaise foi de Nathalie Kosciusko-Morizet : " Casse-toi, pauvre conne !"

    A deux reprises, Nathalie Kosciusko-Morizet détourne les propos du Président de la République, avec une évidente mauvaise foi.

    Francois Hollande n'a jamais voulu insulter un milliard de catholiques.

    Francois Hollande n'a jamais voulu insulter des millions de sarkozystes.

    Il a juste fait deux plaisanteries qui prêtent à sourire ou pas, mais qui ne sont pas plus graves que ça.

    Nathalie Kosciusko-Morizet ne pouvant pas critiquer la politique gouvernementale parceque ne pouvant pas proposer de meilleures solutions, s'empare de faits anodins pour se mettre en avant.

    Dommage pour elle, candidate à la Mairie de Paris. Bon nombre d'électeurs de gauche, conscients que Paris est un contre-pouvoir important, et, conscients que la démocratie implique peut-être un Maire Parisien de Droite pour contre-balancer un président, une assemblée et un sénat à gauche, bons nombres d'électeurs de gauche, donc, sont prêts à voter pour elle, car elle est pour l'instant la mieux placée à Droite, les autres étant rébarbatifs pour l'électorat de gauche.

    En effet, dans bien des cas, le Maire est choisi pour sa personnalité d'avantage que pour ses orientations politiques. Nathalie Kosciusko-Morizet n'a pas compris qu'elle doit séduire les Parisiens de gauche pour être élue et non caresser les grincheux de la droite dans le sens du poil.

    Les propos qu'elle tient déçoivent. On a envie de lui dire " Casse toi pauvre conne !" pour reprendre les termes de Sarkozy, propos qu'elle n'a jamais critiqués et qui sont autrement plus graves que les plaisanteries de Francois Hollande.

    A l'heure ou Michele Obama ouvre les enveloppes des Oscars depuis la Maison Blanche, il serait peut-être temps que Nathalie Kosciusko-Morizet cesse de se nimber d'une dignité outragée, qu'elle jette aux orties des tactiques d'un autre âge, et qu'elle prenne conscience que les temps ont changé. Tous les espoirs sont permis car elle jeune, mais pour l'instant, elle est ridicule et décevante. Du moins sur ce point, car pour le reste, elle est plutôt pas mal.

     

  • JEAN DUJARDIN S'EN VA-T-EN GUERRE CONTRE LES MOULINS A VENT

    Dans une récente interview, Jean Dujardin part en guerre contre le Web, suite aux critiques qu'il a essuyées pour "Le débarquement".

    Tant qu'il était le héros de "Un gars, une fille" ou "Brice de Nice", il plaisait ou pas, mais il n'était qu'un acteur à notoriété parmi d'autres, ce qui ne pouvait susciter aucune véhémence.

    Cela a commencé à se gâter pour lui au moment de "Un balcon sur la mer". On a découvert qu'il pouvait être un excellent comédien dans un suspense romantique à la Hitchcock, même si la toile de fond politique du film était ratée. Mais le gugusse Jean Dujardin capable de marcher sur les traces de James Stewart dans "Sueurs Froides", sans être ridicule, cela était difficilement supportable pour ses détracteurs ( voir la critique de "Télérama").

    Ensuite, Jean Dujardin remporte une foultidtude de prix avec "The artist", y compris l'Oscar. On imagine les copains de la grande famille du cinéma ( en réalité une grande famille de faux-culs ) allongés sur leur lit avec des glaçons sur la tête. Comment voulez-vous que des rumeurs médisantes ne commencent pas à circuler sur Jean Dujardin ? Il ne faut pas oublier que nous sommes en France, et les plus anciens se souviennent des haines déclenchées par Brigitte Bardot, alors la plus grande star du monde, ou par Louis De Funes, génie détesté de son vivant par l'Intelligentsia et sanctifié après sa mort.

    Pour tout arranger, les meilleurs skectches des "Infidèles" sont ceux avec Jean Dujardin et Alexandra Lamy ( sa femme, en plus !, non mais vous imaginez ! ) et "Las Vegas", interprété et co-réalisé par Jean Dujardin. Quoi de plus énervant pour les aigris ?

    Aussi, lorsque "Le débarquement" arrive sur nos écrans, il est inévitable que l'émission soit descendue sans pitité par des cons qui n'ont même pas compris que grâce à cette émission, Jean Dujardin renouait ( peut-être sans le vouloir ) avec une tradition bien française et ne plagiait pas une émission étrangère. En effet ,"Le débarquement" s'inscrit dans la lignée théâtrale des "Branquignols" (contraction de "Branques" et "Guignols" ), suite de sketches et gags puisant dans l'absurde et constituant des spectacles qui lançèrerent en d'autre temps Robert Dhery, Louis de Funes, Jacqueline Maillan, Francis Blanche ou Micheline Dax, ce qui n'est pas tout à fait rien.

    Toutes ces critiques sont assez minables, engendrées par des jaloux et des aigris et ne peuvent qu'augmenter  face au succès de Jean Dujardin, mais à une vitesse inversement proportionnelle au carré du nombre des admirateurs de the artist. Ce dernier a tort de leur répondre. Ils ne méritent que le silence.

    Jean Dujardin déplore que Marion Cotillard subisse le même sort. On se souvient que lorsqu'elle remporta son Oscar, Claude Brasseur affirma à la télévision : " C'est Piaf qui a eu l'Oscar. Pas Marion Cotillard". Face à ces moulins à vent, plus aucun dialogue n'est possible. Mieux vaut donc laisser courir. Bonne route à Jean Dujardin et à Marion Cotillard !

     

  • TRISTANE BANON SERT DE SCUD A ERIC NAULLEAU POUR TORPILLER AYMERIC CARON

    Nouvelle et pitoyable initiative du sinistre Eric Naulleau qui ne se remet toujours pas d'avoir été débarqué de l'émission " On n'est pas couché ", et surtout de voir son poste actuellement occupé par Aymeric Caron, poste qu'il pensait détenir à vie.

    Naulleau n'a trouvé rien de mieux que de charger sa copine Tristane Banon d'un message à l'attention de son détesté "rival", laquelle Tristane, en bonne idiote qu'elle est, l'a transmis au lieu de se taire, comme l'aurait fait n'importe qui ayant un peu de savoir vivre et de savoir faire.

    Lors de la dernière émission de Ruquier, on a donc pu assister avec effarement à la prestation de cette petite blonde, souriant niaisement en affirmant à Mr Caron : " Eric Naulleau m'a chargé de vous dire qu'il y avait deux lettres de trop dans votre nom".

    Ce n'est ni drôle, ni méchant, c'est tout simplement nul. Et sans surprise de la part de Mr Naulleau, qui ne supporte pas la contradiction et qui se venge comme il peut. Même bassement, par l'intermédiaire d' une pauvre fille qui ne sait plus où elle en est, en l'utilisant comme un scud contre ceux qu'il n'aime pas, et en se gardant bien de lui dire qu'elle même est surnommée " Triste en banane" depuis l'affaire Strauss-Kahn.

    Tout cela vole bas. Normal, tout cela vole au niveau de Naulleau, à cours d'argument et obligé de proférer des insultes pour calmer sa jalousie.

    Effectivement, on lui préfére Aymeric Caron, moins prétentieux, plus agréable à regarder et souvent brillant, ce qui n'était pas le cas de son prédécesseur au physique de petit instituteur grincheux distribuant des bons et des mauvais points au gré de ses aigreurs d'estomac. Fort heureusement Naulleau n'est plus là, et c'est l'essentiel. Quant à ses messages, ce ne sont que de petites glaires stagnant au fond d'un crachoir, mais qui disparaîtront dès que la femme de ménage sera passée.