GG

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

JEAN DUJARDIN S'EN VA-T-EN GUERRE CONTRE LES MOULINS A VENT

Dans une récente interview, Jean Dujardin part en guerre contre le Web, suite aux critiques qu'il a essuyées pour "Le débarquement".

Tant qu'il était le héros de "Un gars, une fille" ou "Brice de Nice", il plaisait ou pas, mais il n'était qu'un acteur à notoriété parmi d'autres, ce qui ne pouvait susciter aucune véhémence.

Cela a commencé à se gâter pour lui au moment de "Un balcon sur la mer". On a découvert qu'il pouvait être un excellent comédien dans un suspense romantique à la Hitchcock, même si la toile de fond politique du film était ratée. Mais le gugusse Jean Dujardin capable de marcher sur les traces de James Stewart dans "Sueurs Froides", sans être ridicule, cela était difficilement supportable pour ses détracteurs ( voir la critique de "Télérama").

Ensuite, Jean Dujardin remporte une foultidtude de prix avec "The artist", y compris l'Oscar. On imagine les copains de la grande famille du cinéma ( en réalité une grande famille de faux-culs ) allongés sur leur lit avec des glaçons sur la tête. Comment voulez-vous que des rumeurs médisantes ne commencent pas à circuler sur Jean Dujardin ? Il ne faut pas oublier que nous sommes en France, et les plus anciens se souviennent des haines déclenchées par Brigitte Bardot, alors la plus grande star du monde, ou par Louis De Funes, génie détesté de son vivant par l'Intelligentsia et sanctifié après sa mort.

Pour tout arranger, les meilleurs skectches des "Infidèles" sont ceux avec Jean Dujardin et Alexandra Lamy ( sa femme, en plus !, non mais vous imaginez ! ) et "Las Vegas", interprété et co-réalisé par Jean Dujardin. Quoi de plus énervant pour les aigris ?

Aussi, lorsque "Le débarquement" arrive sur nos écrans, il est inévitable que l'émission soit descendue sans pitité par des cons qui n'ont même pas compris que grâce à cette émission, Jean Dujardin renouait ( peut-être sans le vouloir ) avec une tradition bien française et ne plagiait pas une émission étrangère. En effet ,"Le débarquement" s'inscrit dans la lignée théâtrale des "Branquignols" (contraction de "Branques" et "Guignols" ), suite de sketches et gags puisant dans l'absurde et constituant des spectacles qui lançèrerent en d'autre temps Robert Dhery, Louis de Funes, Jacqueline Maillan, Francis Blanche ou Micheline Dax, ce qui n'est pas tout à fait rien.

Toutes ces critiques sont assez minables, engendrées par des jaloux et des aigris et ne peuvent qu'augmenter  face au succès de Jean Dujardin, mais à une vitesse inversement proportionnelle au carré du nombre des admirateurs de the artist. Ce dernier a tort de leur répondre. Ils ne méritent que le silence.

Jean Dujardin déplore que Marion Cotillard subisse le même sort. On se souvient que lorsqu'elle remporta son Oscar, Claude Brasseur affirma à la télévision : " C'est Piaf qui a eu l'Oscar. Pas Marion Cotillard". Face à ces moulins à vent, plus aucun dialogue n'est possible. Mieux vaut donc laisser courir. Bonne route à Jean Dujardin et à Marion Cotillard !

 

Les commentaires sont fermés.